Les élèves de cycle 3 de l’école de Montcony ont bénéficié d’un prêt de classe robot ‘Lego Wedo’. Leur objectif final était de raconter une histoire inventée à l’aide de ces robots. Voici un petit résumé en vidéo de leur travail :
Plusieurs écoles de la circonscription de Louhans ont bénéficié de prêts de classes robots. Voici le résultat de leurs travaux :
Le projet des écoles maternelle et élémentaire de de Toulon-sur-Arroux (71) met à profit la liaison Grande section- CP pour adapter l’album jeunesse «C’est qui le plus fort» de Mario Ramos. Cette histoire a été mise en scène grâce aux robots du pack cycle 1 (« Bluebot »). Découvrez ci-dessous la genèse du projet et le film réalisé par la classe : http://ien71-chalon1.cir.ac-dijon.fr/wp-content/uploads/sites/9/Robots/C_est_moi_le_plus_fort.mp4
La classe de CE2-CM1 a bénéficié d’un prêt de robots Thymio en janvier et février 2019. Après avoir découvert les principes de l’algorithmie et de la programmation, via des activités débranchées, les élèves ont programmé les robots. L’école Pablo Neruda (à Chalon sur Saône) accueillant en son sein le dispositif Orchestre à l’école, les élèves ont souhaité que leurs robots réalisent un concert. Le Robot ‘chef d’orchestre’ dirige ses musiciens et ses robots ‘danseurs’ (ses claudettes). Pour réussir à synchroniser les mouvements de tous ses robots, les élèves ont réalisés de nombreux essais. Les programmes des cinq robots ont fonctionné tous ensemble suite au 94ème programme. Voici la présentation du travail effectué : Bravo à eux pour leur persévérance et le résultat :
Présentation du projet par l’enseignante, Véronique Filleule: Dans le monde d’aujourd’hui les nouvelles technologies sont partout. Il est de la responsabilité de l’école de préparer les enfants à leur utilisation mais avant tout de leur en faire comprendre l’utilité. Nous avons la chance de pouvoir proposer des outils adaptés aux enfants dès leur plus jeune âge. Les robots « Blue-bot » permettent d’apprendre tout en s’amusant. Par exemple, le repère dans l’espace à cet âge-là (2 et 3 ans) est encore bien difficile mais l’utilisation des robots permet d’acquérir du vocabulaire spécifique au déplacement (à côté de …. derrière…., avancer, pivoter, en direction de … etc). Nous pouvons également travailler la numération (ex, avancer de 3 cases, pivoter en direction de, avancer de 2 cases etc). Les enfants apprennent à prendre des repères pour coder un déplacement. La priorité est de leur faire vivre eux même les situations avant de leur faire tester les robots. D’autres compétences peuvent être travaillées avec les robots : les couleurs, les formes (rond carré triangle) et même la compréhension d’histoire lue par l’enseignante. Il est très facile d’adapter l’objectif en fonction du niveau et de l’âge de l’enfant. Jean Moulin comme d’autres écoles à souvent des enfants allophones dans ses classes. Les robots parlent un langage universel : par imitation, tout le monde peut comprendre. Pour finir, à ceux qui auraient pu penser que le codage n’était pas à la porter des plus jeunes, je leur réponds : les enfants sont surprenants, ne les sous-estimons pas. Je vous invite à voir en vidéo une partie de leur travail : Le projet au format pdf : L’article de presse paru le 20/02/2019 sur le Journal de Saône et Loire :
Défi n°1 : construire le robot « Milo » À notre disposition, la fiche de contruction. Défi n°2 : trouver un programme permettant de faire avancer le robot de 20 cm. Et voici l’un des programmes (car il y en a plusieurs) qui fonctionne. Défi n°3 : Milo doit parcourir 20 cm et revenir à son point de départ. Maintenant que nous avons découvert et utilisé le matériel, le maître nous expose le véritable projet : construire et programmer une cabine d’ascenseur. Défi n°4 : construire une cabine d’ascenseur qui s’adaptera à la cage préparée par le maître. Voici la cage d’ascenseur. Et les différentes cabines réalisées. Défi n°5 : imaginer et réaliser un mécanisme motorisé permettant de faire monter et descendre la cabine. Certains groupes ont utilisé des poulies, d’autres des engrenages. Défi n°6 : la cabine doit s’élever d’au moins 30 cm, s’arrêter puis redescendre. Après plusieurs essais peu concluants, nous nous sommes aperçus qu’un système à engrenages était plus fiable et plus efficace qu’un système à poulies. Choix du prototype La décision fut difficile, mais après avoir comparé le modèle de chaque groupe, nous avons choisi celui qui répond au mieux au cahier des charges du maître au niveau de : – la solidité ; – l’équilibrage ; – la vitesse (qui doit être la plus constante possible) ; – l’encombrement. Voici le prototype qui intègre la cage d’ascenseur ! Défi n°7 : la cabine doit monter et s’arrêter précisément au « premier étage » et redescendre au « rez-de-chaussée ». Pour programmer des arrêts très précis, nous avons maintenant à notre disposition un capteur de mouvement. Lorsqu’un obstacle rentre dans sa zone de détection, il commande l’arrêt de notre ascenseur. Et voici l’un des programmes qui fonctionne. Défi n°8 : la cabine doit monter et s’arrêter précisément au « premier étage » et redescendre au « rez-de-chaussée » en ralentissant avant de s’arrêter. Le maître tente par tous les moyens de nous proposer un défi impossible à réaliser. Ce n’est pas encore pour cette fois … Et même si le programme se complique un peu ! Défi n°9 : l’ultime défi ! Pour cette dernière séance, le maître a ajouté plusieurs nouveaux objectifs dont le premier était le suivant : « Arrêtée au 1er étage, la cabine ne doit repartir que lorsqu’un passager le demande. » Quant aux autres, saurez-vous les découvrir ?
Les CM1-CM2 de l’école de PERONNE ont bénéficié du prêt de LEGO WEDO sur la période Novembre-Décembre 2018. Voici le projet qu’ils ont mené avec ces robots :
Durant les mois de novembre et décembre 2018, le RPI des colibris a bénéficié d’un prêt d’une valise de robots de marque Thymio. Ce prêt a concerné les quatre classes du RPI : les deux classes de PS-MS-GS-CP de l’école de Saint-Gilles; les CE1-CE2 de l’école de Dennevy, les CM1-CM2 de l’école PEF de Charrecey. Les enseignant(e)s ont participé à une journée de formation fin septembre à la suite de laquelle, ils (elles) ont commencé à travailler la logique de programmation dans leurs classes, et ce jusqu’aux vacances d’automne. Après ces congés, les élèves ont, dans l’ordre : découvert ces robots (mis en route, fonctionnement global) analysé les différents modes pré-programmés (rouge, vert, jaune, bleu, cyan, violet) utilisé les robots pour mettre en scène un récit imaginaire qu’ils ont créé (classes de St Gilles) écrire les initiales de leur prénom (classe de Dennevy) écrire le nom de leur école, PEF (école de Charrecey) mutualisé leurs apprentissages lors d’une rencontre à la salle des fêtes de Saint-Gilles (le 14 décembre). Ce projet en vidéo :
C’est le mardi 27 novembre que la classe de CM2 de Jean-Jaurès à accueilli entre autres dans ses locaux les élèves et leurs parents, l’inspectrice de circonscription, des conseillers pédagogiques, les partenaires du dispositif… pour présenter, à travers un film, ce qu’ont vécu les élèves de la classe de CM2 pendant plusieurs semaines. L’occasion d’y constater l’abondance des thèmes abordés : « Programmer sans robot ? Oui, c’est possible avec le pack débranché » « Découverte du matériel : le pack Lego WeDo » « On progresse dans les constructions et les programmations » « Le projet du zoo : où et comment un robot apporte de la nourriture aux animaux » « Le projet des jeux olympiques et ses valeurs » « Le projet de communication en morse » « Robot tracteur VS robot vitesse » « La chasse au trésor : l’union fait la force » Le dispositif fédérateur a été vécu par la classe avec enthousiasme et plaisir. Vidéo « Classes-Robots à Jean-Jaurès »
Après une phase de découverte et d’interrogation autour de la question : « Qu’est-ce qu’un robot » suivi d’une démarche expérimentale (hypothèses, tests, validation…), l’idée s’est finalement imposée à la classe de CE2-CM1 de l’école Bretonnière d’utiliser les robots pour la création d’un petit film sur le thème de « Thésée et le Minotaure ». Pour un robot dont la programmation permet la gestion des déplacements, quel meilleur thème en effet que celui d’un parcours dans un labyrinthe ? Le travail de programmation a ainsi été l’occasion de travailler les mathématiques (géométrie, mesures), l’écriture (histoire du film), la lecture (narration), le travail sur les sons (éducation musicale), l’art visuel (personnages, décors, tournage des séquences) … Le film, projeté le lundi 26 novembre 2018 en classe, a été l’occasion pour les personnes présentes, dont les partenaires du dispositif « Classe Robot », de mesurer le travail riche, complexe et minutieux ainsi accompli sur une période. Vidéo « Thésée et le Minotaure »